Hebdo n°14
Au sommaire cette semaine :
Le mood du jour, la récolte, la Galette et les Bons Morceaux et la petite histoire.
Edito
Cette semaine commence avec du soleil et des températures qui remontent. Avant les fortes gelées, j'avais planté des fraises sur mon balcon, des gariguettes exactement, et elles sont en parfaite santé et elles continuent de faire des fleurs et de pouvoir espérer qu'au bout du tunnel de belles fraises apparaitront et qu'elles pourront être picorer par des oiseaux. Ayant seulement planté trois pieds, je n'espère pas une récolte qui me permettrait de faire une tarte. Donc je mise sur l'altruisme et espère que les petits oiseaux pourront se rafraichir de leur jus, se revigorer par la vitamine C.
Vous vous demandez sûrement pourquoi, je vous raconte tout cela, et bien parce que je n'ai pas trouver de sujets plus inspirant pour ce modeste EDITO, même si l'actualité donnait les funérailles du Prince Philip, les prémices d'un début éventuel de sortie du confinement, la présentation par Marlène Schiappa des "Etats généraux de la Laïcité", ou que sais-je encore l'abandon du vaccin AstraZeneca. Car la semaine dernière, une magnifique mésange charbonnière est entrée dans mon salon et bien sûr affolée de ne pouvoir ressortir de mon appartement, elle s'est posée sur la tringle à rideau. Tout doucement, j'ai ouvert la fenêtre et les appels des autres mésanges l'ont attiré vers l'extérieur et je l'ai vu s'envoler vers la liberté. Un grand merci à toi dame nature de m'avoir offert ce spectacle, la beauté de cet envol vers la liberté, à l'heure ou tout le secteur de l'évènementiel est fermé.
C'était quand même beau et cela valait bien un EDITO, et des fraises pour bientôt !
Bonne lecture !
C'est le mood du jour !
Récolte
Le rhinocéros en chocolat
C'est en 2019 que Valentin Le Nerse, chef chocolatier Au Petit Prince, sculptait ce magnifique rhinocéros en chocolat. En 2021, le Salon du Chocolat se tiendra à la Porte de Versailles du 28 octobre au 1er Novembre, pour émerveiller nos yeux, titiller nos narines et faire exploser nos papilles !
Héritage du Prince Philip : Qui touchera quoi ???
Sa fortune est estimée à 11,5 millions d'euros. Ce n'est ni vous, ni moi, c'est Elisabeth II qui recevra cette somme dans sa totalité. Ce choix évite aux monarques du monde entier de payer une taxe de 40% sur l'héritage. Car une clause qui date de 1993 permet de céder de souverain à souverain ou de conjoint à un monarque en cours de règne de céder la totalité de son héritage sans taxe. La reine Elisabeth II pourrait ainsi donner sa fortune estimée à 430 millions d'euros, au Prince Charles, à son décès sans payer de taxe.
God save the Queen !!!
Source : Gala
Remède à la mélancolie
Cette émission diffusée sur France Inter, le dimanche matin à 10h, accueillait Vincent Darré, styliste et architecte d'intérieur, ancien bras droit de Karl Lagerfeld. Et selon son intime conviction : "nous sommes tous double". Mes questions : "comme Espen September dans la série Maniac?" "comme Fabrice Martin (double prénom) qui se ressent schizophrène ?" Pour lui c'est un jeu à écouter d'urgence
Saison II : épisode 3 : La fin du manque de papier toilettes
Après avoir bloqué le Canal de Suez pendant près d'une semaine et handicapé l'ensemble de l'économie mondiale, un camion de la firme Ever Green a bloqué une autoroute à Taïwan. Mais la firme chinoise a démenti que le camion lui appartenait. Ils ne sont spécialisés que dans le transport maritime.
S'il s'agit d'une coïncidence tout à fait fortuite, l'anecdote reste toutefois très amusante !
Aimons L' ART
Musique
Petite histoire
La Laitière Johannes Vermeer
Lorsqu'il peint le tableau, en 1660, il est encore un jeune peintre de 28 ans dont l'essentiel de l'oeuvre reste à venir. Il n'est pas pour autant un débutant puisqu'il a commencé à peindre vers 1653 des scènes religieuses et plusieurs scènes de genre.
Le succès de ce tableau ne s'est jamais démenti chez les amateurs d'art, même lorsque Vermeer était oublié, car ce tableau atteint l'universel. Il se situe à la portée du plus grand nombre par son sujet et son esthétique.
Aucune culture préalable n'est nécessaire pour comprendre le thème ou admirer la réalisation.
Le regard poétique de l'artiste sur la réalité quotidienne la transforme et lui donne une portée universelle.
Pourtant, une analyse plus fine de cette oeuvre nous permet de découvrir les dessous que nous ne pouvons percevoir sur le dessus !
Source : Arte émission "Merci de ne pas toucher"
**************
Commentaires
Enregistrer un commentaire